SAMAYA X VALENTIN PALARDY

À LA DÉCOUVERTE DU BASE JUMP EN MONTAGNE

 

 
Il existe des passionnés de montagne qui repoussent les limites de l’aventure. Valentin Palardy est l’un d’eux. Alpiniste aguerri et base jumper hors pair, il s’élance depuis les sommets des Alpes avec une approche singulière : celle de gravir des voies techniques avant de s’ouvrir aux airs. Avec Samaya, il trouve l’équilibre parfait entre légèreté et performance pour vivre pleinement cette combinaison unique de l’ascension et du saut.
 
Le base jump en « glisseur bas » : un art en verticalité
Contrairement aux adeptes de la wingsuit, qui utilisent des combinaisons permettant de planer longuement, Valentin pratique le base jump en « glisseur bas ». « Mon saut est court, ma voile s’ouvre rapidement, et ce qui m’intéresse, c’est de trouver le juste équilibre entre une belle ascension et un beau saut », explique-t-il. Dans cette discipline, l’essentiel est de capter l’instant : de prendre le temps d’arpenter chaque recoin du sommet, d’apprécier la voie choisie, avant de se lancer en quelques secondes d’apesanteur.
 
Un équipement pensé pour se faire oublier
« Pour moi, le sac parfait, c’est celui qu’on ne sent pas. » Lorsque Valentin approche un sommet technique, l’exigence de l’équipement devient cruciale. Le sac à dos doit être assez léger pour ne pas gêner l’ascension, compact pour se glisser sous le parachute, et robuste pour résister aux parois souvent rugueuses de l’alpinisme en haute montagne. C’est là que le modèle Samaya ALPINE35 intervient. « Ce sac, je l’utilise pour tout : de l’alpinisme à l’escalade facile. Il supporte vraiment bien l’usure, et je peux tout mettre en vrac, que ce soit la voile ou le matériel d’escalade, grâce à son grand zip. » Pour Valentin, le Samaya ALPINE35 s’est imposé comme une seconde peau, en parfaite harmonie avec les besoins du base jump.

 

 
Des sommets emblématiques comme terrain de jeu
Pour Valentin, les Alpes sont une source inépuisable de projets. Récemment, il a réalisé la traversée des Grandes Jorasses depuis le refuge Torino, avant de redescendre quelques mètres en rappel dans la face nord pour s’élancer dans le vide. Le Mont Blanc fait aussi partie de ses terrains de jeu, qu’il aborde par les Trois Monts, avant de redescendre du côté italien pour s’élancer depuis le pilier du Freney, à 4 500 mètres, le plus haut point d’exit des Alpes. « Ces projets, c’est plus qu’une simple chute, c’est toute une expédition. Prendre le temps de l’ascension, sentir la paroi, observer les moindres changements de la montagne… c’est ça, l’aventure. »
 
Trouver l’alignement des planètes
Le base jump en montagne demande une précision infinie. La météo, les conditions de la paroi, la vitesse du vent : chaque détail compte. « Il y a des sommets où le saut n’est tout simplement pas possible. Parfois, on arrive en haut et les conditions ne sont pas bonnes. Dans ces moments-là, on redescend pour trouver un autre point départ pour s’envoler. » Pour Valentin, ce n’est pas un échec, mais une partie de l’apprentissage de la montagne. Chaque projet est une leçon d’humilité, et chaque saut est l’aboutissement d’une préparation méticuleuse, d’une compréhension du terrain.

 

 
La quête d’expéditions lointaines
Valentin ne s’arrête pas aux Alpes. Son rêve est d’explorer les sommets des Andes ou de l’Himalaya, où l’altitude impose encore plus de défis. Mais pour lui, ces ambitions se réalisent au bon moment, lorsque toutes les planètes s’alignent. « Le base jump en montagne, ce n’est pas une quête de vitesse, c’est l’art de prendre le temps. Observer les verticales, sentir l’instant où la montagne devient prête à te laisser partir… c’est une aventure intime, une connexion unique avec l’environnement. »
 
Avec Samaya à ses côtés, Valentin Palardy réinvente le base jump, non pas comme une simple descente mais comme une véritable exploration de la montagne, une invitation à ralentir, à écouter et à se fondre dans l’immensité.

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